LE RÂKSHASA

Chers amis,
cette nuit, peut-être dans le même moment où vous étiez en train de publier cet intéressant article que je viens de lire, j’ai reçu quelque chose de surprenant que je veux partager avec vous et qui est en épatante rapport avec les réflexions que vous venez de publier.
J’était dans une zone de connexion entre le «royaume intermédiaire» et le «royaume du bas» (c’est à dire que je me trouvais dans le plan vital le plus proche au physique subtil). J’étais en train d’accompagner (si j’ose dire!) Satprem dans une expédition qui avait pour but la recuperation et la libération d’un certain «prisonnier». [Satprem avait sa forme physique habituelle, tandis que moi, j’étais une présence sans corps: je pouvais seulement observer, à la manière d'un témoin qui ne peut pas intervenir directement].
Dans un coin particulièrement sombre et inquiétant, Satprem a du faire face à un être répugnant — il s’agissait d’une sorte de «gardien-de-seuil»: afin de pouvoir avancer et récupérer le prisonnier, Satprem devait accepter de soutenir un combat à main et de… perdre!!
Pendant le combat, ce monstre (il s’agissait d’un Râkshasa, comme on l’appelle ici) bat Satprem sans pitié. Après avoir donné l’énième coup de poing sur le visage gonflé de Satprem, il lui a dit (d’une voix dégoûtante): «Comment veux-tu le coup-de-grâce, en anglais ou en français?».
J’était ahurie. Tout cela était tellement horrible et déchirante que, incapable de le supporter davantage, je me suis réveillé. L'horloge indiquais trois heures du matin (heure locale).
J’était tout à fait bouleversé.
Mais, quand même, avec une foudroyante certitude.
Parce que j’ai su que, une fois vaincu, Satprem auras pu finalement récupérer le prisonnier.
Et j’ai eu l’impression que ce prisonnier (qui avait été “dérobé” et “isolé”), est la personnification des manuscrits de Satprem, qui constituent ses Carnets d’une Apocalypse!
On m’avait déjà montré, il y a quelque temps, les deux personnes qui ont leurs mains sur les Carnets de Satprem: une d’elle («celle qui vit en France», d’après ce qui m’a été dit) n’est pas malin, mais elle est aveugle, hélas, complètement incapable de reconnaître les gens sincères et les forces qui agissent par derrière les hommes: Satprem connaissait très bien les limites de cette personne et il a du intervenir plusieurs fois); tandis que l’autre («celle qui vit en Inde et qui enfonce ses griffes sur les manuscrits») est la réelle liaison du Râkshasa, celle qui lui permet de tabasser Satprem.
Donc, il est temps de faire entendre nos voix et d’exiger (par exemple) cette Fondation que vous proposez (composée par des gens capables et fiables — pas une maffia!) qui puisse donner une garantie certaine de la fidélité des Carnets à publier.

Arpana Takâra (6/5/16)