ERREURS

relevées dans le

volume 9 des

Carnets d’une Apocalypse

de Satprem

 

(rédigé par l’équipe du site arianuova.org) 

Le tome IX des “Carnets” de Satprem
a été publié en avril 2011.
Donnons ici notre liste
des fautes contenues, pour faire preuve,
hors de toute polémique,
de ce soin et ce respect qui l’Auteur mérite bien.
Oui, il faut bien obtenir des garanties
sur la fidélité de la transcription
des prochaines tomes à paraître!

 

– p.42: «je ne me souviens pas de qui c’étaient» (au lieu de «qui c’était”).

– p.115: «anniversaire de la mort d’Adolf Hitler» (au lieu de «anniversaire de la naissance d’Adolf Hitler»).

– p.155: coupure mal placée: «je cour-ais».

– p.185: «des coups de pieds» (au lieu de «pied»).

– p. 186: «et bien peut-àtre que» (au lieu de: «eh bien,»).

– p. 202: «une demie jambe» (pour «une demi-jambe»).

– p. 247: «un peu bruns» (au lieu de: «un peu brun» — il s’agit d’un seul corbeau).

– p.248: «c’est que ça soit arrivé de près de toi» (sens?).

– p. 261: «très légèrement dorés ou chauds, crèmes» (au lieu de «crème», invariable ici).

– p. 266: «les bàtes d proies» (pour: «bàtes de proie»).

– p.269: «des feux d’artifices» («feux d’artifice»).

– p. 293: «à peu de choses près» (au lieu de «à peu de chose près»).

– p. 305, note de l’éditeur: «Devenant de plu-z-en plus curieux» («de plus en plus»).

– p. 339: «et bien cette msse périmée» (pour: «Eh bien, cette masse périmée»).

– p. 371: «une foi et une ténacité plus veilles que les tombes» («vieilles»).

– p. 373: «Seigneur, où est-tu?» («es»).

– p.373: «Comme quand il y de fortes pluies et de la boue (omission de «a»)-

– p. 392: «Elle transportait quelque chose qui était précieux, ...qui peut-être étaient des bijoux» (au lieu de «était»).

– p. 395-396: entre la fin de la page 395 et le début de la page 396, il semblerait qu’il manque un ou plusieurs mots: «elle fait son boulot de a sincérité des gens» (sens?).

– p. 405: «parce qu’après» (au lieu de «parce que après» — parce que ne s’élide que devant à, il, ils, elle, elles, on, un, une).

– p. 445: «cette femme qui avait une pouvoir si considérable» (au lieu de: «un»).

– p. 453: «et bien oui» (au lieu de: «Eh bien, oui»).

– p. 457: «parce que on peut mettre» (là, il fallait élider: «parce qu’on peut mettre»).

– p. 457: «parce qu’après tout» (au lieu de: «parce que après tout»).

– p. 460: «que ne j’ai pas vu» (pour: «que je n’ai pas vu»).

– p. 492: «je me suis demandée» (pour: «je me suis demandé»).

– p. 505: «entr’ouverte» (pour: «entrouverte»).

– p. 508: «cela peut-être n’importe quoi» (pour: «peut être»).

– p. 514: «par qu’il est en train de secouer tout» (au lieu de «parce qu’il»).

 Cette liste n’est pas exhaustive. A ces fautes, il faut ajouter la maladress des traductions d’anglais en français (Exemples: «Les Chinois ont tendu à écarter les idées soviétiques sur la sécurité en Asie comme irréalistes», ou: «Près de 500 000 Allemands de l’Est descendent dans la rue, leur slogan se précisant: “La démocratie maintenant”».

 Mais le grand probléme demeure celui de la ponctuation. Là, les erreurs se comptent par centaines. Ponctuation complètement absente dans certaines conversations retranscrites («bon eh bien heureusement c’est fini», ou «C’est avec Mère je ne sais pas en 67-68»), omise presque systématiquement après «eh bien», après les compléments circonstanciels placés en tête de phrase, après certains gallicismes qui exigeraient une virgule («Le poteau de torture c’est mon corps»). Enfin, ponctuation mal placée qui altère le sens de certaines phrases (ex. p. 127: «Mais je me souviens déjà, je marchais sur les plages et j’avais du coaltar sous les pieds» — la virgule devrait se trouver après souviens).

 En résumé, ce volume des Carnets regroupe encore une fois un grand nombre de fautes d’orthographe, de grammaire, de ponctuation et de traduction, et semble révéler une retranscription parfois erronée des manuscrits originaux.

Janvier 2012